Quidam (Cirque du Soleil)
Personne dont on ne peut, dont on ne veut dire le nom.
Après avoir été créé sous chapiteau, le spectacle renaît dans un amphithéâtre. Je n’ai pas vu la première version, mais j’ai lu sa présentation dans L’histoire authentique du Cirque du Soleil :
Babinsky, Tony (texte); Manchester, Kristian (direction artistique). – « Quidam, au nom de ceux que l’on n’entend pas ». – Cirque du Soleil : 20 ans sous le soleil. L’Histoire authentique. – Traduit de l’anglais par Michèle Boileau et Julie Lavallée. – Montréal : Hurtubise HMH, 2004. – 352 p. – ISBN 2-89428-738-0. – Cote BAnQ : 791.309714 B114c 2004. – P. 186-207.
J’ai été émerveillé par la nouvelle présentation de Quidam dans l’amphithéâtre du Centre Bell. Un spectacle fabuleux! Superbe! Extraordinaire! Une suite merveilleuse et époustouflante de tableaux animés par des artistes chevronnés. Une musique envoûtante. Un public participatif et enthousiaste.
Quelle matinée mémorable!
Avant d’aller au spectacle, j’avais lu plusieurs critiques sur la première. À quelques réserves près, en lien avec le site du spectacle plutôt qu’avec son contenu, les commentaires étaient très élogieux. De retour du spectacle, je peux dire que le compte-rendu dithyrambique de Claude Giguère est un des plus appropriés : Quidam revient en force à Montréal.
Voici tout de même quelques extraits de ces critiques.
Après avoir ébloui dix millions de téléspectateurs sur cinq continents, le spectacle Quidam revient en version aréna, toujours aussi fascinant, quatorze ans après sa création à Montréal. (Agnès Gaudet, Rue Frontenac, 06 12 2010)
La première officielle, hier soir au Centre Bell, a donné lieu a un enchaînement de numéros tous plus époustouflants les uns que les autres. (Claude Giguère, Rue Frontenac, 21 12 2010)
Plus d’une décennie après sa création, le spectacle mis en scène par Franco Dragone est à point. Les numéros présentés impressionnent, les images offertes fascinent et la musique, omniprésente et dramatique, transporte. (Jennifer Guthrie, Métro, 21 12 2010)
Sans maquillage outré ni costumes de latex tape-à-l'oeil, Quidam est d'abord un plaisir visuel, un poème fait d'images qui semblent tirées d'un rêve ou d'un conte de fées pour grandes personnes, moins fou, plus poétique. Moins spectaculaire, plus saisissant parfois. (Marie-Christine Blais, La Presse, 21 12 2010)
Avec le recul, tout semble le même et l'autre dans ce spectacle Quidam créé par le Cirque du Soleil à Montréal, sous chapiteau, il y a 14 ans. […] Pour cette distance dans le temps, donc, ça va. C'est l'éloignement physique qui pose problème, la distance spatiale quoi. (Stéphane Baillargeon, Le Devoir, 21 12 2010)
Quidam was always the Cinderella of Cirques [...]. In the tent, it was mesmerizing. In an arena, it seems misplaced, diminished. But it still has a soulful quality that touches the heart. (Pat Donelly, The Gazette, 22 12 2010)
Et le Cirque n’en a pas moins mis plein la vue à travers la succession de remarquables tableaux constituant une véritable ode à l’anonymat. (Marie-France Pellerin, 24 H, 21 12 2010)
Les quotidiens peuvent être consultés à la Grande Bibliothèque, dans la section des journaux, au rez-de-chaussée. Par ailleurs, les versions électroniques des quotidiens peuvent être consultées depuis un poste multimédia.
Sur la Toile
Cirque du Soleil (Site officiel)
Quidam (Extraits dont plusieurs produits par le Cirque du Soleil)
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